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C

  • Une charge additionnelle de fonds propres exigée des établissements bancaires d'importance systémique régionale, par la Commission Bancaire.
  • C'est la valeur attribuée à un actif financier ou à un passif financier lors de sa comptabilisation initiale, diminuée des remboursements en principal, majorée ou diminuée du cumul de l’amortissement, calculé par la méthode du taux d’intérêt effectif, de toute différence entre cette valeur initiale et la valeur à l'échéance et, dans le cas d'un actif financier, ajustée au titre de la correction pour pertes, le cas échéant.

  • La valeur de marché, si elle est positive, d’une transaction ou d’un portefeuille de transactions relevant d’un ensemble de compensation qui serait perdue en cas de défaut de la contrepartie, dans l’hypothèse d’une absence totale de recouvrement. Si la valeur de marché est négative, l’exposition courante est égale à zéro. Le coût de remplacement est souvent également appelé l'exposition courante.
  • Il comprend les dotations et reprises sur dépréciations des créances sur la clientèle, les établissements de crédit et assimilés, sur titres à revenu fixe d'investissement, les provisions sur engagements de hors-bilan, ainsi que les pertes sur créances irrécouvrables et les récupérations sur créances amorties et les autres mouvements de dépréciations liés à un risque de contrepartie et passifs éventuels liés à ces postes.
  • Reposant sur la stabilité de l'unité monétaire, la convention du coût historique consiste à comptabiliser les opérations sur la base de la valeur nominale de la monnaie sans tenir compte des éventuelles variations de son pouvoir d'achat.
  • Il s'agit d'un coût qui n'aurait pas été encouru en l'absence d'une transaction à laquelle il est lié, comme par exemple une mise en place ou un rachat de crédit.
  • Elles sont définies sur la base de deux critères, à savoir un impayé de plus de 90 jours et/ou un emprunteur considéré comme étant dans l'incapacité de payer tout ou partie de ses obligations, sans avoir recours à des actions telles que la réalisation d'une sûreté ou garantie.
  • Ce sont des créances au titre desquelles il n'existe plus d'espoir de recouvrement.

  • Opération par laquelle une institution bancaire met à la disposition d’une personne ou d'une entreprise une somme d’argent moyennant intérêts.
  • Événement soudain causant des pertes et des dommages importants, entraînant une interruption d’une ou plusieurs activités critiques ou un arrêt de l’organisme, ayant des impacts à long terme et nécessitant le recours à la Cellule de crise et, le cas échéant, à un site alternatif. Une crise peut avoir des conséquences sur la survie même de l’organisation.
  • Augmentation plus ou moins régulière du PIB induite simultanément par plusieurs branches d'activités

  • Les normes, attitudes et conduites d’un établissement relatives à la sensibilisation au risque, à la prise de risque et à la gestion des risques ainsi qu’à l’ensemble des contrôles qui orientent les décisions en matière de risque.
8 juillet 2024

141ème Session du Collège de Supervision de la Commission Bancaire de l'UMOA